4 janvier 2010
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14:40
Ce post aurait pu s'intituler «Comment j'ai failli mourir dramatiquement, empalée sur une brosse à chiottes» mais je trouvais que ça manquait de délicatesse. Même si ça avait le mérite de résumer la situation. Qui est la suivante :
Je sortais du boulot, la semaine dernière, vers 19h30 17h30, quand l'idée me vint d'aller au petit coin. J'entre dans les toilettes pour filles, ceux où il fait super froid parce que la femme de ménage laisse toujours la fenêtre ouverte pour aérer sauf qu'en décembre, on se caille vraiment les miches surtout que par définition, sur la cuvette, on est cul nu.
La lumière de la pièce ne fonctionne pas. Damned ! A tâtons, je choisis le cabinet de gauche (aucune allusion politique) et m'apprête à m'asseoir, sans avoir allumé non plus, parce qu'il faut savoir que je n'allume jamais dans les toilettes, parce qu'il y a une fenêtre (si vous avez suivi, c'est celle qui est toujours ouverte à cause de la femme de ménage) et que j'ai toujours peur qu'on puisse me voir. Alors je fais ce que j'ai à faire dans le noir, seulement éclairée par la lumière principale des WC (si vous avez suivi, celle qui, ce jour-là, ne fonctionnait pas).
Bref, je m'apprête à m'asseoir sur le trône, comme dirait l'autre, dans le noir complet quand soudain, un doute m'assaille. J'allume. Grands dieux ! La femme de ménage, décidément un brin perverse, avait laissé la brosse à WC posée sur l'abattant...
Une arme dangereuse, qui aurait pu me tuer de la manière la plus ignoble et la plus ridicule qui soit ! Imaginez un peu le discours du prêtre à mon enterrement, les gloussements de rire dans l'assistance, les tags sur ma pierre tombale... Je suis vraiment passée à côté du Darwin Award. Maintenant, quand je passe devant la porte des WC, j'en frissonne encore.
Je sortais du boulot, la semaine dernière, vers 19h30 17h30, quand l'idée me vint d'aller au petit coin. J'entre dans les toilettes pour filles, ceux où il fait super froid parce que la femme de ménage laisse toujours la fenêtre ouverte pour aérer sauf qu'en décembre, on se caille vraiment les miches surtout que par définition, sur la cuvette, on est cul nu.
La lumière de la pièce ne fonctionne pas. Damned ! A tâtons, je choisis le cabinet de gauche (aucune allusion politique) et m'apprête à m'asseoir, sans avoir allumé non plus, parce qu'il faut savoir que je n'allume jamais dans les toilettes, parce qu'il y a une fenêtre (si vous avez suivi, c'est celle qui est toujours ouverte à cause de la femme de ménage) et que j'ai toujours peur qu'on puisse me voir. Alors je fais ce que j'ai à faire dans le noir, seulement éclairée par la lumière principale des WC (si vous avez suivi, celle qui, ce jour-là, ne fonctionnait pas).
Bref, je m'apprête à m'asseoir sur le trône, comme dirait l'autre, dans le noir complet quand soudain, un doute m'assaille. J'allume. Grands dieux ! La femme de ménage, décidément un brin perverse, avait laissé la brosse à WC posée sur l'abattant...
Une arme dangereuse, qui aurait pu me tuer de la manière la plus ignoble et la plus ridicule qui soit ! Imaginez un peu le discours du prêtre à mon enterrement, les gloussements de rire dans l'assistance, les tags sur ma pierre tombale... Je suis vraiment passée à côté du Darwin Award. Maintenant, quand je passe devant la porte des WC, j'en frissonne encore.